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Je me sentais triste à pleurer, à pleurer comme les nuages qui pleuraient sur le monde et sur moi, trempé de tristesse jusqu’au cœur, accablé de lassitude à ne plus lever mes jambes, engluées d’argile ; et j’allais rentrer quand j’aperçus au milieu des champs le cabriolet du médecin qui suivait un chemin de traverse.

Elle passait, la voiture noire et basse, couverte de sa capote ronde et traînée par son cheval brun, comme un présage de mort errant dans la