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étrangère qui gênerait leur discussion et les résolutions à prendre.
Ils venaient de remonter au salon quand le notaire fut annoncé.
Roland s’élança.
— Bonjour, cher maître.
Il donnait comme titre à M. Lecanu le « maître » qui précède le nom de tous les notaires.
Mme Rosémilly se leva :
— Je m’en vais, je suis très fatiguée.
On tenta faiblement de la retenir ; mais elle n’y consentit point et elle s’en alla sans qu’un des trois hommes la reconduisît, comme on le faisait toujours.
Mme Roland s’empressa près du nouveau venu :
— Une tasse de café, Monsieur ?
— Non, merci, je sors de table.
— Une tasse de thé, alors ?
— Je ne dis pas non, mais un peu plus tard, nous allons d’abord parler affaires.
Dans le profond silence qui suivit ces mots