Page:Maupassant - Mont-Oriol, Ollendorff, 1905.djvu/97

Cette page a été validée par deux contributeurs.
91
mont-oriol

— Quel pot-au-feu ! Je n’y tremperais pas une soupe.

Un autre reprit :

— La viande non plus ne m’irait guère.

Mais le marquis remarqua que les bulles d’acide carbonique semblaient plus nombreuses, plus grosses et plus vives, dans cette nouvelle source
que dans celle des bains.

Les loques du vagabond en étaient couvertes, et ces bulles montaient à la sur-