Page:Maupassant - Mont-Oriol, Ollendorff, 1905.djvu/342

Cette page a été validée par deux contributeurs.
336
mont-oriol


qui l’exé­cuterai, bien que cela me regarde moins que toi assurément.

— Tu es donc amoureux de Charlotte ?

— Moi ?… non… mais je vois clair dans le jeu de ce gredin.

— Mon cher, tu te mêles de choses délicates… et… à moins que tu n’aimes Charlotte… ?