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mont-oriol

Gontran le jugeait ainsi : « Paul ! c’est un cheval emballé avec un amour sur le dos. Quand il en jette un par terre, un autre lui saute dessus. »

Mais Brétigny s’aperçut que le soir venait. Il avait marché longtemps. Il rentra.

En passant devant les nouveaux bains, il vit Andermatt et les deux Oriol, arpentant les vignes et les mesurant ; et il comprit à leurs gestes qu’ils discutaient avec agitation.

Une heure plus tard, Will, entrant dans le salon où la famille entière était réunie, dit au marquis :

— Mon cher beau-père, je vous annonce que votre