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mont-oriol

— Tiens, te voici… Tu es seul ?

— Oui. On s’est étonné de vous voir disparaître là dessous.


— Eh bien ! nous revenons, mon cher. Nous regar­dions ça. Est-ce assez curieux ?

Louise, rouge jusqu’aux tempes, sortit la première et se mit à remonter la pente, suivie par les deux jeunes gens qui parlaient bas derrière elle.