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comme une roulade d’oiseau. Elle répétait, avec de petits cris méchants qui passaient entre ses dents blanches et déchiraient Parent ainsi que des morsures : « Ah !… ah !… ah !… ah !… elle t’a ba… ba… battu… Ah !… ah !… ah !… que c’est drôle… que c’est drôle… Vous entendez, Limousin. Julie l’a battu… battu… Julie a battu mon mari… Ah !… ah !… ah !… que c’est drôle !… »

Parent balbutiait :

— Mais non… mais non… ce n’est pas vrai… ce n’est pas vrai… C’est moi, au contraire, qui l’ai jetée dans la salle à manger, si fort qu’elle a bouleversé la table. L’enfant a mal vu. C’est moi qui l’ai battue !

Henriette disait à son fils : — Répète, mon poulet. C’est Julie qui a battu papa !

Il répondit : — Oui, c’est Zulie.

Puis, passant soudain à une autre idée, elle reprit : — Mais il n’a pas dîné, cet enfant-là ? Tu n’as rien mangé, mon chéri ?

— Non, maman.

Alors elle se retourna, furieuse, vers son