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nir encore, mais il se refusa à rester plus longtemps.

Alors on se serra la main, et Sorieul, avec sa bougie, l’éclaira dans le vestibule, criant : « Prenez garde à la marche sous la porte cochère. »


On riait franchement autour du conteur. Il se leva, alluma sa pipe, et il ajouta, en se campant en face de nous :

« Mais le plus drôle de mon histoire, c’est qu’elle est vraie. »