À toute page, on en peut cueillir dans La Ferme du Choquard.
Je prends au hasard :
« Se mettre martel en tête.
Se résigner à son bonheur.
Donner un libre cours à sa colère. »
Choisissons des exemples plus complets :
« En arrivant dans la cour, elle entendit un concert d’aboiements furieux. Deux chiens étrangers étaient aux prisesavec ceux de la ferme qui les recevaient de la belle manière. »
Il parle d’un pensionnat « dont la directrice était Mlle Bardèche, excellente et digne personne. »
Je continue : « Il ne faut pas trop en vouloir à un petit serpent de fille si elle tire la langue à un vieux docteur qui ne consent pas à être sa dupe. »
Quelquefois pourtant l’image est hardie. M. Cherbuliez met en scène un pauvre valet d’écurie, un Suisse, un compatriote, et il le compare à un cheval.
« À peine écorchait-il quelques mots de français, dont il se servait bravement pour expliquer son affaire, comme Char-