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ici ; elle vous aurait tenu compagnie le temps que vous allez rester dans la ville. Ce n’est pas gai de se promener tout seul ; et elle le regrettera bien de son côté. »

Puis, comme je me levais, elle s’écria : « Mais si vous voulez que Carlotta aille avec vous ; elle connaît très bien les promenades ? C’est mon autre fille, monsieur, la seconde. »