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d’eau-de-vie, puis un second qu’il demanda. Il avait envie de rire maintenant, de crier, de chanter, de battre quelqu’un.
Il se dit : « Cristi, me voilà remonté. Il faut que je fasse la fête. » Et l’idée lui vint aussitôt de trouver des filles pour s’amuser.
Il appela le garçon.
— Hé, l’employé !
— Voilà, m’sieu.
— Dites, l’employé, ousqu’on rigole ici ?
L’homme resta stupide à cette question.
— Je n’sais pas, m’sieur. Mais ici !
— Comment ici ? Qu’est-ce que tu appelles rigoler, alors, toi ?
— Mais je n’sais pas, m’sieu, boire de la bonne bière ou du bon vin.
— Va donc, moule, et les demoiselles, qu’est-ce que t’en fais ?
— Les demoiselles ! ah ! ah !
— Oui, les demoiselles, ousqu’on en trouve ici ?
— Des demoiselles ?