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par une modiste d’Yvetot, elle montrait tout entière sa nuque forte, ronde, souple, où ses petits cheveux follets voltigeaient, roussis par le grand air et le soleil.
Lui, Benoist, ne voyait que son dos ; mais il connaissait bien le visage qu’elle avait, sans qu’il l’eût cependant jamais remarqué plus que ça.