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CELLES QUI OSENT.

Te rappelles-tu certains vers, que nous savourions parfois, des vers réputés abominables, mais qui sont doux comme des caresses ?

Tu viens de faire en prose quelque chose en ce genre. Laisse crier les sots et continue.


Cette nouvelle servit de préface au livre de René Maizeroy : Celles qui osent (Flammarion, éditeur). Elle était précédée de quelques lignes la reliant au livre.