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au printemps

« Enfin, j’étais emballé, fou. Je voulus la prendre dans mesbras. Elle me dit : — « À bas les pattes ! »

« Alors je m’agenouillai près d’elle et j’ouvris mon cœur ; je versai sur ses genoux toutes les tendresses qui m’étouffaient. Elle parut étonnée de mon changement d’allure, et me considéra d’un regard oblique