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la morte
vais plus marcher tant mes genoux fléchissaient.
J’entendais battre mon cœur ! Et j’entendais autre
chose aussi ! Quoi ? un bruit confus innommable !
Était-ce dans ma tête affolée, dans la nuit impénétrable, ou sous la terre mystérieuse, sous la
terre ensemencée de cadavres humains, ce bruit ? Je regardais
autour de moi !
Combien de temps suis-je resté là ? Je ne sais pas. J’étais paralysé par la terreur, j’étais ivre d’épouvante, prêt à hurler, prêt à mourir.