Cette page a été validée par deux contributeurs.
264
la morte
Quand je revis
ma chambre, notre
chambre, notre lit,
nos meubles, toute
cette maison où
était resté tout ce
qui reste de la vie d’un être après sa mort, je
fus saisi par un retour de chagrin si violent
que je faillis ouvrir la fenêtre et me jeter dans
la rue. Ne pouvant plus demeurer au milieu de
ces choses, de ces murs qui l’avaient enfermée,
abritée, et qui devaient garder dans leurs imper-