Page:Maupassant - Contes du jour et de la nuit 1885.djvu/71

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Allons, lève-té, et tâche à v’nir.

Puis, après un silence, elle reprit :

— Et pis n’li dis rien tant qu’i n’verra point ; que j’y gagnions ben six ou huit mois !

Et Céleste, s’étant redressée, pleurant encore, décoiffée et bouffie, se remit en marche d’un pas lourd, en murmurant :

— Pour sûr que j’y dirai point.