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— C’est là, mon enfant, à la seconde maison.
Et il entra comme chez lui dans la masure des Vallin.
La vieille mère lavait ses tabliers ; le père infirme sommeillait près de l’âtre. Tous deux levèrent la tête, et le jeune homme dit :
— Bonjour, papa ; bonjour, maman.
Ils se dressèrent, effarés. La paysanne laissa tomber d’émoi son savon dans son eau et balbutia :
— C’est-i té, m’n éfant ? C’est-i té, m’n éfant ?
Il la prit dans ses bras et l’embrassa, en répétant : — « Bonjour, maman. » Tandis que le vieux, tout tremblant, disait, de son ton calme qu’il ne perdait jamais : — « Te v’là-t-il revenu, Jean ? » Comme s’il l’avait vu un mois auparavant.
Et, quand ils se furent reconnus, les parents voulurent tout de suite sortir le