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la porte

ment serré les mains des deux hommes et baisé celle de la femme, qui me dit adieu froidement.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Karl Massouligny se tut.

Quelqu’un demanda :

— Mais l’ami, qu’était-ce ?

— Je ne sais pas… Cependant… cependant il avait l’air désolé de me voir partir si vite…