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aux eaux

convenable. Vus des galeries qui entourent le bain, nous avons l’air de gros crapauds dans un baquet.

Berthe est venue s’asseoir dans cette galerie pour causer un peu avec moi. On l’a beaucoup regardée.

28 juin. — Deuxième bain. Quatre heures d’eau. J’en aurai huit heures dans huit jours. J’ai pour compagnons plongeurs le prince de Vanoris (Italie), le comte Lovenberg (Autriche), le baron Samuel Vernhe (Hongrie ou ailleurs), plus une quinzaine de personnages de moindre importance, mais tous nobles. Tout le monde est noble dans les villes d’eaux.

Ils me demandent, l’un après l’autre, à être présentés à Berthe. Je réponds : « Oui ! » et je me dérobe. On me croit jaloux, c’est bête !

29 juin. — Diable ! diable ! la princesse de Vanoris est venue elle-même me trouver, désirant faire la connaissance de ma femme, au moment où nous rentrions à l’hôtel. J’ai présenté Berthe, mais je l’ai priée d’éviter avec soin de rencontrer cette dame.

2 juillet. — Le prince nous a pris hier au col-