Page:Maupassant, Des vers, 1908.djvu/145

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Elle sentait partout, sous le bois reverdi,
Courir et palpiter un souffle ardent et tendre ;
Alors, levant les yeux vers le ciel, elle dit :
« Amour ! l’homme est trop bas pour jamais te comprendre ! »