Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 5.djvu/35

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

meur de la tournure défavorable que la partie avait prise pour lui, « je suis fort surpris que vous ne vous occupiez jamais, comme tant de jeunes filles, à travailler à l’aiguille ou bien à faire quelques autres ouvrages féminins. »

« Ou bien à lire quelques livres de piété, » dit dona Clara, en levant pour un moment ses yeux de sa tapisserie et les y laissant retomber sur-le-champ. « Il y a la légende de ce saint Polonais né comme vous dans une terre de ténèbres… il s’appelait… révérend père, j’ai oublié son nom. »

« Échec au roi, » dit le père.

« Vous ne songez qu’à cultiver quelques fleurs, à jouer du luth ou à regarder la lune, » continua don Fernand,