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point de devoirs plus faciles. Levez-vous donc et cessez de pleurer ; si votre conscience est troublée, le père Jozé ne manquera pas de vous infliger une pénitence proportionnée à votre faute. »

Après ce discours, dona Clara, qui n’en avait jamais autant dit à la fois, se reposa sur son coussin et commença à défiler son chapelet avec la plus grande dévotion. Elle s’endormit ensuite d’un sommeil profond dont elle ne se réveilla que quand la voiture arriva à sa destination.

Il était midi, et le dîner servi dans un appartement de plain-pied avec le jardin, n’attendait que l’arrivée du père Jozé, confesseur de dona Clara et de dona Isidora sa fille. Il ne tarda pas à se