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sionnerait mille difficultés pour subsister. Elle supplia donc l’ecclésiastique d’user de son influence sur son frère, pour obtenir ce qu’elle désirait, comme si… Elle s’arrêta.

« Le bon et obligeant ecclésiastique l’écouta avec attention, et après avoir satisfait à sa conscience, en la conjurant de renoncer à ses opinions hérétiques, seul moyen de se réconcilier avec Dieu et avec son frère, et en ayant reçu un refus tranquille, mais positif, il procéda à lui offrir le meilleur conseil temporel qu’il lui fût possible. Ce conseil consista à élever ses enfans conformément aux désirs de son frère, et d’y employer tout l’argent qu’il lui fournissait en abondance pour ce but.