Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 5.djvu/149

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


CHAPITRE XXVIII.



La journée suivante se passa toute entière, de la part de dona Clara, pour qui l’écriture était une tâche rare, pénible et insupportable, se passa, dis-je, à relire et à corriger la réponse qu’elle avait faite à l’épître de son époux. Après l’avoir bien examinée, elle y trouva tant à changer, à interligner, à modifier et à raturer, que finalement cette réponse ressembla beaucoup à la tapisserie à laquelle elle travaillait, et qui avait jadis été commencée par sa grand’mère.