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dre ici sur ses qualités ; mais je compte qu’elle le recevra comme il convient à une fille obéissante, et vous comme l’ami de
« Votre affectionné mari,
« Francisco de Aliaga. »
« Vous venez d’entendre la lettre de votre père, ma fille, » dit dona Clara en se mettant en devoir de parler, « et vous vous attendez sans doute à recevoir de moi une instruction sur les devoirs de l’état dans lequel vous allez entrer. Ces devoirs sont, selon moi, au nombre de trois, savoir : l’obéissance, le silence et l’économie. Quant au premier… »