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ment, car il n’était pas encore majeur, l’avaient engagé à retourner au collége, afin d’achever son éducation le plus promptement qu’il pourrait ; mais John observa que le respect dû à la mémoire du défunt l’obligeait de rester pendant quelque temps dans sa maison. Ce n’était cependant pas là son véritable motif. La curiosité, ou bien un sentiment qui peut-être mérite un meilleur nom, s’était emparé de son esprit. Ses tuteurs qui étaient des personnages distingués dans les environs par leur état et leur fortune, et aux yeux desquels John lui-même avait acquis beaucoup d’importance depuis qu’il avait hérité des biens de son oncle, le pressèrent de loger chez eux jusqu’à son