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LE


CROYANT,


poème


par M. C.-F. Matton,
Avocat, Inspecteur cantonal,
Bachelier ès-lettres de l’université de France et membre de
la Société des Gens de Lettres belges.

La foi, toute mystérieuse quelle est, répand sur la vie humaine quelque lumière et quelque grandeur ; l’incrédulité n’établit rien, c’est la philosophie du néant.
(Legris-Duval.)
La foi, flambeau divin, jeté sur notre route
Pour éclairer nos cœurs et nous conduire aux cieux !
(M. La Garde.)



Nivelles,
typ. despret frères, lith. et libr.
1852.