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Vous tous qui confondez et l’envie et la haine,
En consumant vos jours pour la faiblesse humaine ;
Aux cris de la douleur vous qu’on voit accourir,
Vous qui savez aimer, vous qui savez mourir,
Vous que l’Esprit Sacré si puissamment inspire,
Nous allons essayer de chanter sur la lyre
Vos sublimes vertus, votre saint dévoûment,
Et la pieuse ardeur de votre cœur aimant.