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se des arbres qui balisaient la route de chaque côté, à part l’avantage de pouvoir voyager à découvert.

Le trajet s’effectua sans incidents marquants. L’air était vif mais sain. D’ailleurs la marche réchauffait plus encore que les grands feux qu’on faisait, sous-bois, le soir venu alors, que la troupe laissait le fleuve pour se retirer dans la forêt touffue et y passer la nuit.

D’étape en étape on parvint à Mena’sen.


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