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félix maderleau

vue. D’autre part, je n’ai pas assez de modestie pour vous dire : « Mes chers amis, quand je mourrai, portez un sot au cimetière ! » Non, mais si l’on me faisait l’honneur d’une pierre tombale, bien que je n’y tienne pas autrement, je voudrais une épitaphe comme celle-ci :


En philosophe il a goûté
— quel sort digne d’envie ! —
l’intervalle d’éternité
qu’on appelle la vie !