’exemplaire original de ce conte, acheté en Italie par Madame Élisabeth d’Orbiney, de Londres, fut acquis, en 1857, par l’administration du British Museum, et publié en fac-simile par les soins de M. Birch, dans les Select Papyri, t. II, pl. ix-xix (1860), in-folio. Une reproduction cursive de ce fac-simile couvre les pages 22-40 de l’Ægyptische Chrestomathie de M. Leo Reinisch, Vienne, 1875, petit in-folio.
Le texte a été traduit et analysé pour la première fois par :
E. de Rougé, Notice sur un manuscrit égyptien en écriture hiératique, écrit sous le règne de Merienphtah, fils du grand Ramsès, vers le XVe siècle avant l’ère chrétienne, dans la Revue Archéologique, Ire série, t. VIII, p. 30 sqq. Tirage à part, chez Leleux, 1852, in-8o, 15 pp. et I pl.
Viennent ensuite les traductions et les analyses de :
C.-W. Goodwin, Hieratic Papyri, dans les Cambridge Essays, 1858, p. 232-239.
Birch, Select Papyri, part II, London, 1860. Text, p. 7-9.
Lepage-Renouf, On the Decypherment and Interpretation of Dead Languages, London, 1863, in-8o.
Chabas, Étude analytique d’un texte difficile, dans les Mélanges Égyptologiques, IIe série, 1864, p. 182-230.