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toire d’un grand nombre d’existences précédentes du Bouddha.
Djêtavana, parc et monastère situés dans les faubourgs de la ville de Srâvasti.

Ce parc avait été acheté au prince Djêta, par Anâthapindika, qui avait fait bâtir, au milieu, un monastère à sept étages.

Ce lieu fut, pendant des années, le séjour favori de Sâkya-Mouni.

Un grand nombre de livres bouddhiques sont datés de cet endroit, 117 et suiv.

Djivaka, médecin du Bouddha, était fils naturel du roi Bimbisâra et de la courtisane Amrapalî, 128, 152, 153.

Doulva, partie des livres sacrés du Tibet, qui contient la discipline religieuse, 18.

Douze causes connexes.

Il ne faut pas s’étonner de voir, dans l’énumération de ces douze causes, la naissance et l’existence précéder la conception. Pour les Indiens, qui croient que les âmes n’ont pas eu de commencement, la première naissance, c’est-à-dire le premier revêtissement d’un corps par une âme, se perd dans une éternité incompréhensible. Ceci accepté, la conception ne vient plus qu’après une existence antérieure, précédée elle-même d’une autre naissance, et ainsi de suite, en remontant à l’infini, 76.


Éléphant blanc.

Le futur Bouddha descend dans le sein de Mâyâ, sous la figure d’un jeune éléphant blanc, 18.

Écritures (soixante-quatre espèces d’), énumérées par Sâkya, leurs noms se trouvent dans le chap. x du Lalita-vistara.

Il n’est, cependant, nullement certain que l’écriture fût d’un usage général au temps de Sâkya-Mouni, 29.