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n’a jamais prétendu à l’honneur de posséder des idées propres. Ce qui lui appartient, c’est une incompréhension spéciale d’idées étrangères qu’il pense avoir fixées sous forme d’articles de foi et s’être approprié comme phrases. Il ne serait pas moins inexact d’appliquer au parti Willich-Schapper l’accusation d’être un « parti d’action », à moins que l’on entende par action une oisiveté qui se dissimule sous de vaines combinaisons.