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LA LANGUE DE LA PLÉÏADE

et latine, ayant en français des analogues déjà connus, se sont, pour la plupart, établis dans notre langue, lui ont donné l’élévation qui lui manquait, et ont fait bonne figure, au siècle suivant, dans les vers de Corneille, de Rotrou, voire même de Malherbe, qui, tout hostile qu’il paraisse aux poètes de la Pléïade, en a plus d’une fois subi l’influence.