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mune de Mouzeuil, on vit s’instituer, dans toutes les communes de France qui possèdent un certain nombre d’animaux de l’espèce bovine, des associations mutuelles contre la mortalité du gros bétail.

L’agriculture ne tarderait pas à en ressentir les bons effets ; la situation économique de l’espèce bovine serait améliorée, son rendement plus considérable, et on n’aurait plus à redouter l’augmentation croissante du prix de cet aliment de première nécessité qu’elle fournit aux populations.

G.M.