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Lettre de Montmorency-Laval, du 14 octobre 1752. — Un simple mot de Montmorency-Laval, l’un des syndics de la Compagnie. Après avoir félicité Dupleix du titre de marquis qu’il vient d’obtenir, Montmorency-Laval s’estime lui-même trop bon français et trop attaché au bien de l’État pour ne pas désirer que Dupleix reste encore dans l’Inde, où sa présence est absolument nécessaire. (B. N. 9150, p. 50-60).