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Il ne s’en tint pas à cette attitude négative ; résolu à déranger « autant que possible » nos projets, il estima qu’il était de son devoir de donner un appui plus effectif à Mahamet Ali et au roi de Tanjore, qui restaient nos ennemis. Le Conseil de Goudelour décida donc de leur envoyer de nouveaux secours. (Délibérations des 28 décembre 1750 et 20 janvier 1751).