Page:Martineau - Dupleix et l’Inde française, tome 3.djvu/109

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

espérances dès leur origine. Rien ne l’autorisait à se plaindre : le P. de Noronha n’était même pas de nationalité française. Mais il conserva de sa mésaventure une sourde rancune, prélude ordinaire de querelles plus positives. Cette querelle allait-elle naître de la marche sur Trichinopoly, où nos officiers et nos troupes risquaient de se trouver en contact avec les Anglais ?