4° L’église des Jésuites serait dotée par la Compagnie.
5° La dotation de l’église principale serait de 800 livres dont 400 pour le curé et 400 pour le vicaire, plus les ornements et luminaires. La dotation de l’église des Jésuites serait seulement de 400 livres pour le curé.
6° Le curé de l’église paroissiale aurait le premier rang.
7° Le contrat accepté, les Jésuites présenteraient à la Compagnie, 3 Jésuites français pour remplir les fonctions de curés et vicaire.
8° L’évêque de St-Thomé nommerait ces personnes et non d’autres et en cas de suppléance à exercer dans l’une ou l’autre cure, ce serait le vicaire et non un autre qui l’exercerait.
10° Les cures seraient toujours affectées à l’ordre des Jésuites.
11° Les cures ne seraient censées vacantes que par la mort des titulaires, sans qu’aucune résignation put être admise sous quelque prétexte que ce fut.
12° Toutefois si la Compagnie voulait appeler un des Jésuites de Chandernagor à un autre poste, elle pourrait le faire sous condition de présenter un autre père à la Compagnie. De même la Compagnie pourrait demander le déplacement d’un père, si elle le jugeait nécessaire.
13° Le vicariat de la cure serait amovible soit à la volonté du supérieur des Jésuites, soit à celle de la Compagnie.
14° La maison des Jésuites étant située en dehors de la loge, tous les Jésuites pourraient l’habiter « sans être tenus de faire aucun séjour dans l’appartement pour eux destiné de la loge que lorsqu’ils l’estimeraient nécessaire pour l’exercice de leurs fonctions ».
15° Les curé et vicaire de l’église principale y chanteraient tous les dimanches et toutes les fêtes une grande messe et les vêpres et il y aurait tous les jours au moins une messe basse.
17° Tous prêtres, missionnaires et ecclésiastiques seraient tenus de reconnaître l’autorité des Conseils de la Compagnie