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Au revoir donc, lecteur, et que Dieu t’accompagne !
Je ne parlerai plus, je crois, de l’Allemagne :
Un autre ciel m’attire et j’aspire au soleil.

Je suis le voyageur, à la marche engourdie,
Qui, des Alpes du Nord descend en Lombardie,
Et veut se réchauffer à ce rayon vermeil.

24 mars 1860.

FIN.