Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 350 —
Au revoir donc, lecteur, et que Dieu t’accompagne !
Je ne parlerai plus, je crois, de l’Allemagne :
Un autre ciel m’attire et j’aspire au soleil.
Je suis le voyageur, à la marche engourdie,
Qui, des Alpes du Nord descend en Lombardie,
Et veut se réchauffer à ce rayon vermeil.
24 mars 1860.
FIN.