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d'un assemblage sans nombre d'ongles polis de sanglier ; que ton sort est heureux ! tu vas toucher la poitrine sacrée de notre dieu, et t'échauffer au feu de son génie. Va, compagne de ses travaux, sois à l'abri de l'ennemi, mérite de nobles victoires, et rends bientôt notre prince à la toge ornée de palmes (triomphale).
III. A PONTILIANUS
Pourquoi je ne t'envoie pas mes ouvrages, Pontilianus ? C'est de peur que tu ne m'envoies les tiens.
IV. SUR OPPIANUS
Castricus, c'est lorsqu'il avait les pâles couleurs, qu'Oppianus se mit à faire des vers.
V. A CÉSAR DOMITIEN
César, si tu es sensible aux regrets du peuple et du sénat, aux vœux sincères de tout le Latium, Tends-nous le dieu que réclament nos souhaits empressés : Rome est jalouse de ses ennemis,