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LIVRE VI

I.— à jules martial.

Je t’adresse ce sixième livre, à toi, J. Martial, mon ami le plus cher si ton oreille toujours sûre fait disparaître ses imperfections, il osera, moins inquiet, moins tremblant, se placer dans les mains puissantes de César.

II.— à césar domitien.

C’était un jeu de violer les lois sacrées de l’hymen, un jeu de mutiler des hommes innocents. César, tu défends cette double infamie, et tu rends service aux générations à venir, en leur assurant le bienfait d’une naissance sans fraude. Sous ton em-