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LIII. — à bassus.
Ami, pourquoi veux-tu chanter les forfaits de Médée et ceux de Thyeste ? Que te servirait, Bassus, de traiter la fable de Niobé ou celle d’Andromaque ? Crois-moi, le sujet qui convient le mieux à ta plume, c’est Deucalion ou Phaéton, si le premier ne te sourit pas.
LIV. — sur le rhéteur apollonius.
Enfin il a eu un éclair d’improvisation, mon rhéteur ; sans avoir écrit le nom de Calpurnius, il l’a salué.
LV. — sur l’aigle qui porte jupiter.
Dis-moi qui tu portes, roi des oiseaux ? — Le dieu du tonnerre. — Pourquoi sa main n’est-elle pas armée de la foudre ? — Il est amoureux. — Quel est l’objet de sa flamme ? — Un enfant. — Pourquoi, le bec ouvert, tournes-tu sur Jupiter des regards si doux ? — Je lui parlé de Ganymède.