Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/187

Cette page n’a pas encore été corrigée

Là où ton Peuple à ceste heure t’attend
Aussi fasché de ta loingtaine absence,
Que toy joyeux de la noble presence
De nostre Roy, de ses Enfants aymez,
Et des treshaultz Princes tant renommez :
Entre lesquelz de tes Freres la reste