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Mais fcïïem~yme~ïg~ a ï~uentufe t_ ~)il gill Mais feÏïem~yme~ïgfH : a ïauenture le n’en fcay rien :finon que de fes yeulx E i* ma repeu dun regard gratieux Man ce ntA pas pour contenter nature Car tel’ regard tM que toute pagure De marjolletz~ceft leur vray* nourriture < Maï< moy.te quiers que Ion me face mieulx 1. A mon platfïr< 4 le luy feray de mon cas ouuerture En luy dirant la peine que ~ndute Puis fi le voy queiicappette les ieux Ou quel" refponde aucun bon mot ioyiulx le luy feray par !e corps bieu~nfuïe A mon pIaiHr~ Le XL 1111.

Cœur endurci plus que la roche bise,
Vent aspirant pire que nord ou bise,
De grief refus tant orgueilleulx et fier,
N'est il moyen de te mollifier
Par tel façon que grace en fust acquise ?

O que les Dieulx ont mal ta place quise
De te loger en maison si exquise,
Pour en vertus tant te glorifier,
Cœur endurci !

Considéré que, sans coup de main mise,
Je fus navré d'une œillade transmise
De ton logis, qui me vint défier,
Il te plaira mon mal pacifier