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IV

les traitres et les braves


Il était bien ourdi le complot de l’intendant Bigot.

D’abord, lors de son entrevue avec Wolfe, Sournois avait fait promettre au général anglais, ainsi qu’aux brigadiers Monckton, Townshend et Murray, qu’ils garderaient sur cette transaction un inviolable secret.

Rassuré de ce côté, Bigot, qui pensait,