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FRANÇOIS DE BIENVILLE.

On le vit retenir, un instant, de ses robuste bras, l’énorme poutre qui supportait auparavant la toiture.

Sa touffe de cheveux flamba sur son crâne ; ses mains rôtirent au contact du feu.

Il jeta son dernier cri de guerre.

Puis on le vit plier, tomber et se coucher enfin pour mourir sur un lit de tisons ardents.

La poutre dépourvue de son dernier appui s’abattit lourdement sur son corps, et fit, en retombant, jaillir une gerbe de pétillantes étincelles.



FIN.