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TABLE.

de Délhy, 448. — Ses revers, 453. — Sa défaite et sa mort, ibid.

Mohammed, fils aîné d’Aureng-ZeL, chargé d’envahir le royaume de Golconde, V, 169. — II prend d’assaut la ville d’Hydcrabad, et poursuit Couttoub, roi du pays, jusque dans sa capitale, 170. — Conditions de la paix, lyi. — Mohammed ravit la liberté à son aïeul, dans l’intérieur de son propre palais, 194— — Sa défection, , 252. — Sa captivité et sa mort, 254.

Mohammed-Mauzim, second fds d’Aurcng-Zeb ; son père le fait solennellement proclamer comme seul et unique héritier de l’empire, sous le nom de Schah-Alloimi (roi de la terre), V, 262. — Sa révolte, 287. — Sa soumission, 288. — Sa dissimulation, 354. — Victoire décisive remportée sur son frère Azem, 355. — Il monte sur le trône, et prend le nom de Bahadour-Schah (roi victorieux) ; sovdèvement dans ses états, et insurrection de son frère KamJjouksch, ibid. — La mort de son jeune frère le laisse seul maître de l’empire, 358. — Il bat les Sickhs dans une première rencontre, et les rejette dans leurs montagnes, 361. — Mort subite de ce prince, ibid. — Nouvelles guerres intestines entre ses quatre fils, 364. — Trois d’entre eux périssent dans les combats ; son fils aîné, Jehahoundar, lui succède, 365.

Mohammed-Schah, porté au trône par les frères Séids, songe à s’affranchir de leur dépendance, IV, 381. — Il se ligue secrètement avec les omrahs, ennemis de la domination des Séids, 382. — Part active qu’il prend à l’assassinat d’Hossein, 384. — Fin de la tyrannie des Séids, 385. — Indolence de ce prince, 388. — L’empire est menacé d’un renversement total, 389. — Stipulation honteuse à laquelle sont soumises ses deux capitales, 398. — Il affrançhit le Bahar