aux douceurs que vous me dites ? Mettez-vous à ma place.
Boutez-vous à la mienne.
Eh ! quelle est-elle ? car si vous êtes de bonne foi, si effectivement vous m’aimez…
Oui, je suppose…
Vous jugez bien que je n’aurai pas le cœur ingrat.
Hé, hé, hé… Lorgnez-moi un peu, que je voie si ça est vrai.
Qu’en ferez-vous ?
Hé, hé… Je le garderai. La gentille enfant ! Queu dommage de laisser ça dans la peine !
Quelle obscurité ! Voilà Mme Argante et M. Lucidor ; il est apparemment question du mariage d’Angélique avec l’amant qui lui est venu. La mère voudra qu’elle l’épouse, et si elle obéit, comme elle y sera peut-être obligée, il ne sera plus nécessaire que vous la demandiez. Ainsi, retirez-vous, je vous prie.
Oui ; mais je sis d’obligation aussi de revenir voir ce qui en est, pour me comporter à l’avenant.